วันจันทร์ที่ 28 มกราคม พ.ศ. 2551

Le japon ญี่ปุ๊น..ญี่ปุ่น

Étymologie

En japonais, « Japon » s'écrit 日本, Nihon ou Nippon, ou dans les documents administratifs 日本国, Nihonkoku ou Nipponkoku.

Le nom 日本 veut dire « origine du Soleil ». En effet, 日 signifie Soleil et 本 signifie origine ou racine. C’est lors des premiers échanges commerciaux avec la Chine (traditionnellement par le biais d'une lettre du Prince régent Shōtoku) que cette graphie, logique du point de vue du voisin occidental chinois, fut introduite. D’abord prononcée « Yamato » conformément au nom du Japon de l'époque, il lui fut préféré, à partir de l'époque Nara (VIIIe siècle) les prononciations « Nihon » ou « Nippon », appellations encore en usage de nos jours.

Présentation
Le Japon est un archipel volcanique situé entre l’océan Pacifique, la mer du Japon et la mer de Chine orientale, à l’est de la péninsule coréenne mais également au point de concours de plusieurs plaques tectoniques, nommé "ceinture de feu", à l'origine de nombreuses manifestations volcaniques. L’archipel japonais se découpe en quatre îles principales, Honshū, Hokkaidō, Kyūshū, et Shikoku, ainsi que des milliers de petites îles s'égrainant sur l'océan, qui appartiennent notamment à la préfecture d'Okinawa. Hokkaidō, historiquement peuplée par les Aïnus (ou Aïnous), fut incorporée progressivement à l’ère de peuplement japonais, processus qui s’acheva avec l’ère Meiji. Les migrants s’installèrent dans la plaine du Yamato et formèrent plus tard les premiers artisans de la culture japonaise, alors que les peuples originels furent cantonnés au nord de Honshū et sur l’île de Hokkaidō.

Le nom japonais Nippon est utilisé sur les timbres et pour les évènements sportifs internationaux, alors que Nihon est utilisé plus fréquemment au Japon même. Nippon réfère aussi à l’empire japonais et à une certaine idéologie. Yamato (大和) est le nom que l'on donne à l'ancienne période de la déesse du Soleil « Amaterasu » (qui selon la mythologie ayant cours avant la capitulation en 1945, aurait créé le Japon). C’est à l’origine le nom de la première structure impériale connue qui exerçait son pouvoir autour de Nara (奈良) aux environs du Ve siècle. Aujourd’hui, on trouve toujours le mot Yamato dans des expressions telles que Yamatodamashii (大和魂, « l’esprit japonais »).

Histoire

La légende rapporte que le Japon fut fondé au VIIe siècle av. J.-C. par l’empereur Jimmu. Le système d’écriture chinois, ainsi que le bouddhisme furent introduits durant les Ve et VIe siècles par les moines bouddhistes chinois et coréens, initiant une longue période d’influence culturelle chinoise. Les empereurs étaient les dirigeants symboliques, alors que le véritable pouvoir était le plus souvent tenu par les puissants nobles de la Cour, régents ou shogun (général en chef des armées).

À partir du XVIe siècle, des commerçants venus du Portugal, d’Espagne, des Pays-Bas et d’Angleterre débarquèrent au Japon avec des missionnaires chrétiens. Pendant la première partie du XVIIe siècle, le shogunat craignit que ces missionnaires fussent la source de périls analogues à ceux que subirent ses voisins (telles les prémices d’une conquête militaire par les puissances européennes ou un anéantissement total, pareil à celui que subit le royaume tibétain de Gugé en 1630 suite à l'accueil bienveillant de missionnaires chrétiens par son roi, accueil provoquant l'invasion du Ladakh par son voisin rival, qui profita de l'agitation engendrée par la colère des autorités bouddhistes contre la menace de la perte de leur monopole religieux et de leur influence); aussi la religion chrétienne fut formellement interdite en 1635 sous peine de mort sous la torture. Puis, en 1639, le Japon cessa toute relation avec l’étranger, à l'exception de certains contacts restreints avec des marchands chinois et hollandais à Nagasaki (長崎), précisément sur l’île de Dejima (出島).

Cet isolement volontaire de deux siècles dura jusqu’à ce que les États-Unis, avec le commodore Matthew Perry, forcent le Japon à s’ouvrir à l’Occident par la politique de la canonnière en signant la Convention de Kanagawa en 1854 après le pilonnage des ports japonais.

En seulement quelques années, le renouement de contacts intensifs avec l’Occident transforma profondément la société japonaise. Le shogunat fut forcé de démissionner et l’Empereur fut remis au pouvoir.

La restauration Meiji de 1868 initia de nombreuses réformes. Le système de type féodal et les samouraÏ furent officiellement abolis et de nombreuses institutions occidentales furent adoptées. De nouveaux systèmes juridiques et de gouvernement ainsi que d’importantes réformes économiques, sociales et militaires transformèrent le Japon en une puissance régionale. Ces mutations donnèrent naissance à une forte ambition qui se transforma en guerre contre la Chine (1895) et contre la Russie (1905), dans laquelle le Japon gagna la Corée, Taiwan et d’autres territoires.

L’expansionnisme militaire du Japon avait débuté dès le début du XXe siècle avec l’annexion de la Corée (1910). Il prit de l'ampleur au cours de l’ère Shôwa avec l’invasion de la Mandchourie en 1931 puis des provinces du nord de la Chine. En 1937, l'empire se lança dans une invasion à grande ampleur de la Chine qui débuta avec le Bombardement stratégique de Shanghai et de Guangzhou, entraînant une résolution de blâme de la Société des nations à l’encontre du Japon mais surtout un écrasement du Kuomingtan. Plus de deux cent mille civils chinois furent exterminés lors du massacre de Nankin (Nanjing) par l'armée impériale japonaise.

L’attaque aérienne japonaise de Pearl Harbor dans l’archipel d’Hawaii en 1941, visant à détruire toute la flotte de guerre américaine, l’engagea dans la Seconde Guerre mondiale.

Le Japon agrandit son empire colonial de 1910 à 1943 jusqu'à occuper la Birmanie, la Thaîlande, Hong-Kong, Singapour, l'Indonésie, la Nouvelle-Guinée et l'essentiel des îles du Pacifique. Ce gigantesque empire militaire, appelé officiellement Sphère de coprospérité de la grande Asie orientale, était destiné à servir de réservoir de matières premières. L'occupation de ces territoires fut marquée par d'innombrables exactions à l'encontre des populations d'Extrême-Orient, crimes pour lesquels les pays voisins su Japon demandent toujours des excuses ou réparations aujourd'hui.

L' empereur Showa procéda finalement à la reddition de l'empire du Japon le 15 août 1945 après les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki et l'invasion soviétique du Manchukuo. Le traité de paix avec la Russie est toujours en négociation, en règlement du problème des îles Kouriles du sud, occupées par cette dernière depuis la fin du conflit.

Le Japon dévasté après-guerre,et occupé par les troupes du gouverneur de guerre Mac Arthur, confiné à l’archipel, resta sous la tutelle des États-Unis jusqu’en 1951 (traité de San Francisco). Ceux-ci imposèrent une nouvelle constitution, plus démocratique, et fournirent une aide financière qui encouragea le renouveau du pays.

L’économie se rétablit rapidement et permit le retour de la prospérité dansl'archipel suite aux Jeux Olympiques de Tokyo et au lancement du Shinkansen en 1964.

Depuis les années 50 jusqu'aux années 80, le Japon connaît une apogée culturelle et pour le moins économique et une formidable croissance. Toutefois, ce « miracle économique » prend fin au début des années 1990, date à laquelle la bulle spéculative japonaise éclate.

Politique

Le Japon est une monarchie constitutionnelle avec un parlement bicaméral, la diète (ou Kokkai). Le pouvoir exécutif appartient au cabinet, responsable devant la diète, composé du premier ministre et de ministres d’État devant tous être des civils. Le premier ministre est choisi au sein de la diète par ses pairs. Il a le pouvoir de nommer et de démettre les autres ministres, dont une majorité doit être membre du parlement. La constitution attribue la souveraineté, qui revenait auparavant à l’empereur, au peuple japonais. Le monarque est alors défini comme symbole de l’État.

La branche législative se compose d’une chambre des représentants (Shūgi-in) de 480 sièges, dont 300 membres sont élus par le mode uninominal à un tour et 180 par la proportionnelle régionale. Les représentants sont élus pour quatre ans au suffrage universel (20 ans pour voter). La chambre haute, chambre des conseillers (Sangi-in), est composé de 242 sièges, composée de personnes élues pour une durée de six ans, renouvelée de la demie au 3 ans. Le suffrage est toujours universel et secret. Le mode de scrutin mixte : 146 conseillers par circonscriptions multinominales et 96 à la proportionnelle intégrale.

La vie politique est dominée depuis la fin de l'occupation américaine par le Parti Libéral-Démocrate (PLD) qui a fourni l'essentiel des premiers ministres au pays depuis 1951. Celui-ci gouverne seul ou avec le Komeito, parti sous influence de la secte Sōka Gakkai, dont les députés sont majoritairement issus.

Plusieurs centaines de milliers de Coréens ont le statut de résidents permanents au Japon depuis plusieurs générations et parmi eux, un grand nombre refusent de prendre la nationalité japonaise pour ne pas devoir renoncer à leur nationalité coréenne ; ils sont donc toujours considérés comme des étrangers sur le plan légal, même si nombre d’entre eux utilisent couramment un nom japonais ou ne savent pas parler coréen. Ils bénéficient cependant du statut de « résidents permanents spéciaux » qui leur donne certains avantages par rapport aux autres résidents permanents.

Ils ne peuvent tout de même pas voter aux élections japonaises et accéder à certains postes élevés de la fonction publique sans se faire naturaliser. Il y a cependant un débat sur la possibilité de donner le droit de vote aux élections locales aux résidents permanents, comme c’est le cas depuis 2005 dans certaines régions de Corée du Sud.

Le Japon pratique officiellement la peine de mort, bien que les sentences ne soient pas toujours appliquées et que les condamnés attendent parfois des années une exécution. Le dernier cas en date est celui de Masumi Hayashi, une Japonaise de 43 ans, qui a été condamnée à mort par pendaison par la Haute Cour d’Ōsaka en appel en 2005. Elle était accusée d’avoir empoisonné quatre personnes à l’arsenic et d’en avoir intoxiqué 63 autres en 1998[3]. Le 25 décembre 2006, ce moratoire de facto qui a duré 15 mois, a été levé par la pendaison de 4 Japonais condamnés à mort pour meurtre[4]. Entre septembre 2006 et août 2007, dix personnes ont été exécutées au Japon[5].

Géographie

Le Japon est un archipel de plus de 3000 km de long, s'étalant de la Russie (îles Kouriles) au nord à Taiwan au sud, le long de la côte est de l’Asie. Quatre îles principales composent le pays : du Nord au Sud, Hokkaidō, Honshū la plus grande et la plus peuplée avec 105 millions d'abitants, Shikoku, île de la mer intérieure et Kyūshū, en face de la Corée du sud.

En outre, l’archipel comporte environ 3 000 autres îles, plus petites. Naha, sur l’île d’Okinawa dans l’archipel des Ryūkyū (Ryūkyū rettō en japonais), est située à plus de 600 km au sud-ouest de Kyūshū. Au sud de Tōkyō, l’archipel des Nanpō s’étire sur plus de 1 000 km jusqu’à Iwo Jima. Au nord, les îles de Sakhaline (Karafuto en japonais) et les Kouriles (Chishima rettō qui s’étendent à plus de 1 200 km au nord-est de Hokkaidō), annexées par la Russie quelques jours après la défaite atomique face aux américains en août 1945, sont parfois considérées comme les points extrêmes de l’archipel.

Le Japon est scindé en huit divisions administratives (voire neuf, selon qu’Okinawa est inclus ou non dans le Kyūshū) qui sont (du nord au sud) : Hokkaidō, Tōhoku, Kantō, Chūbu, Kansai (couramment appelé Kinki), Chūgoku, Shikoku, Kyūshū et Okinawa.

Économie

Depuis la Seconde Guerre mondiale au cours de laquelle le pays a subi de lourdes pertes humaines et matérielles, le Japon a progressé à un rythme extraordinaire jusqu’à devenir la deuxième économie du monde, derrière les États-Unis. C'est ce qu'on a appelé le miracle japonais (années 1950-1960). Les jeux Olympiques de Tōkyō en 1964 ont joué un rôle d'accélérateur à cette forte croissance. Ces progrès sont principalement attribués à la présence initiale d'un capital humain important, à la coopération entre l’État (MITI puis METI) et les entreprises, à une production tournée vers les marchés extérieurs (importantes exportations vers l'Asie et l'Amérique), à une forte éthique du travail, à la maîtrise des hautes technologies, à la faiblesse relative des dépenses militaires (1 % du PIB)[7] et à une idéologie appelée harmonie industrielle.

L’organisation économique du Japon a quelques traits propres :

les liens étroits entre industriels, sous-traitants, et distributeurs dans des groupes appelés keiretsu ;
de puissants syndicats d’entreprise, peu de conflits, un mouvement de revendications salariales annuel (shuntō) au printemps.
de forts investissements dans la recherche et le développement
Jusqu'à récemment, une part importante des employés de l’industrie disposait d'une garantie d’emploi à vie, mais depuis l’éclatement de la bulle spéculative japonaise, les licenciements et surtout la fermeture de très nombreux sous-traitants ont écorché ce mythe. La crise a provoqué une croissance du chômage (+ de 5% il y a encore peu, redescendu à 4,1% fin 2006) et de la pauvreté (multiplication des SDF).

L’industrie, secteur dominant de l’économie (avec 39 % du PIB, contre 25 % aux États-Unis, et 33 % de la population active, contre 25 % en France), est très dépendante des importations de matières premières et d’énergie. En effet, le territoire japonais ne pourvoit qu’à 3 ou 4 % des ressources naturelles dont a besoin le pays. Le secteur agricole, bien moindre, est fortement subventionné. Les rendements sont parmi les plus hauts du monde. Le plus souvent autosuffisant en riz, le Japon importe la moitié de sa consommation des autres céréales. Toutefois l'autosuffisance alimentaire plafonne à 40%. Sa flotte de pêche est une des plus importantes au monde et réalise presque 15 % des prises totales. Pendant trois décennies, la croissance a été spectaculaire : en moyenne et hors inflation 10 % par an dans les années 1960, 5 % dans les années 1970 et 4 % dans les années 1980. Au cours des années 1970-1980, le capitalisme japonais a délocalisé sa production de type fordiste dans le reste de l’Asie orientale, en Asie du Sud-Est et en Amérique du Nord. Le but est triple : contourner les quotas de plus en plus nombreux imposés par les différents protectionnismes américains ou européens ; diminuer les coûts de production grâce à une main-d’œuvre meilleur marché et faiblement qualifiée ; conquérir, aussi, les marchés locaux et nationaux grâce à une installation sur place. C'est ainsi que le Japon s'est petit à petit ouvert vers le Sud-Ouest et l'Ouest[8]. Dans les années 1990 la croissance a été nettement plus faible, essentiellement à cause de surinvestissements à la fin des années 1980, des accords du Plaza de 1985, et d’une politique économique d’austérité destinée à purger les excès antérieurs des marchés boursiers et immobiliers. Les efforts du gouvernement pour relancer la croissance ont eu peu de succès. La signature d’accords avec l’Organisation mondiale du commerce força le Japon à réduire ses subventions aux agriculteurs, ouvrant la voie aux riz américains ou vietnamiens (le riz constitue la base alimentaire des repas des Japonais). La crise économique asiatique de 1997 a eu pour effet d'accentuer cette situation économique tendue.

Depuis fin 2002, un mouvement de reprise s’est amorcé, tiré par le rapide développement du voisin chinois, et, plus récemment, par la demande intérieure (consommation des ménages, chômage en baisse...) et l’assainissement du secteur bancaire. Ceci s'est confirmé début 2006, quand le Japon a pu officiellement annoncer avoir vaincu la déflation persistante depuis le début des années 2000. Aujourd'hui malgré un endettement record (environ 160% du PIB !), le Japon a réussi à sortir de la crise immobilière

À long terme, la surpopulation des zones habitables et le vieillissement de la population sont deux problèmes majeurs. La robotique est une des grandes forces de l’économie à long terme. 410 000 des 720 000 robots industriels du monde sont au Japon.


Religion


La plupart des Japonais ne croient pas en une religion particulière et unique. Ceux-ci sont profondément animistes, de nombreuses amulettes tant à la maison qu’en voyage en attestent. Leur pratique est chamanique au travers du shintoïsme, les autres religions n’étant qu’une appropriation animiste des dieux d’autres lieux dans leur panthéon personnel ou collectif. Cependant, nombreux sont les Japonais, particulièrement au sein de la jeune génération, qui sont opposés aux religions pour des raisons historiques et en raison du développement de la science. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il fut exigé du peuple japonais de participer aux cérémonies shinto avec la limitation des activités des autres religions. Ce shintoïsme d’État fut indissociable du nationalisme nippon qui prônait une élimination pure et simple des apports, pourtant anciens, du bouddhisme et enfin du christianisme apporté par les missionnaires portugais (dont faisait partie le père jésuite François Xavier). Beaucoup d’autres ont su garder une vision plus apaisée de la religion et en « utilisent » plusieurs dans leur vie. Ainsi, une même personne peut aller invoquer les dieux au sanctuaire shintō à l’occasion du nouvel an et tenter d’attirer leur attention avant les examens d’entrée à l’école ou à l’université. Celle-ci, raisonnant de manière confucianiste, souhaitera parfois un mariage à l’occidentale dans une église chrétienne après une cérémonie plus traditionnelle et aura des funérailles dans un temple bouddhiste. Au début du XVIIe siècle et après une période de relative tolérance, le christianisme fut interdit puis pourchassé jusqu’à une quasi clandestinité des chrétiens du pays, mis à part sur l'île de Kyushu, dont Fukushima et Nagasaki ainsi que la moitié sud du Japon, où les chrétiens sont plus nombreux. Aujourd’hui, la situation s’est inversée et un certain nombre de nouvelles religions ou sectes, dont la S­­ōka Gakkai et ses 6 millions de membres, qui se sont établies juste avant ou à la suite de la Seconde Guerre mondiale occupent une place importante au Japon.





ได้ฤกษ์อัพบล๊อกอีกล่ะ

หายไปนานอยุนะเนี่ย

อิอิ อู้ๆๆๆๆ

ลัลล้า

วันอังคารที่ 15 มกราคม พ.ศ. 2551

ในทะเลมีรัย?? น่ากัวน่ากัว อิอิ ฉลามน่ะสิรู้อ่ะป่าวล้า


requin พี่ฉลามตัวหย่าย!!!

Les requins sont des poissons cartilagineux ne formant pas un groupe monophylétique (des espèces parentes mais qui ne descendent pas toutes d'un ancêtre unique). C'est avant tout à partir des caractéristiques morphologiques que le nom de requin est attribué. Il en existe 465 espèces[1], organisées en 35 familles, présentes dans tous les océans du globe. Ils sont cependant tous regroupés au sein de la classe des chondrichthyens qui comporte, en outre, les raies, les poissons scies, les poissons guitares et les chimères. Le super-ordre Selachimorpha a été créé afin de désigner exclusivement les requins. Les selachimorpha sont apparus au Dévonien, il y a environ 430 Ma[2]. À partir du Crétacé, il y a 100 Ma, beaucoup d'espèces de requin ont adopté leur forme moderne ; ils n'ont guère évolué depuis ce qui semble être le signe d'une adaptation parfaite à leur milieu.

La plupart des requins sont des prédateurs, voire des superprédateurs pour certains, mais les plus grandes espèces, comme le requin baleine (Rhincodon typus) ou le requin pèlerin (Cetorhinus maximus), ne se nourrissent, principalement, que de plancton en filtrant l'eau de mer. Seulement, une douzaine sont considérées comme dangereuses pour l'homme. De nombreuses espèces sont menacées de disparition.


Dénomination
L'origine du terme est controversée, peut être est-ce une déformation de quin (chien), au sens de chien de mer[3] ou de requiem[4]. Le terme « squale », de sens identique, qui dérive du latin Squalus[5] fait référence à la peau rugueuse de ces animaux du fait des denticules présents sur leur corps. Il existe également un genre nommé Squalus dont l'un des noms vernaculaires est aiguillat. Plusieurs espèces de requin comportent le terme requin dans un de leurs noms vernaculaires, comme par exemple : requin marteau, requin tigre, requin pèlerin, mais ce n'est pas une généralité, il existe aussi des noms vernaculaires ne comprenant pas le terme requin comme dans le cas de maraîche, roussette, mako etc.

Voici deux listes de requins. La première est classée suivant les noms vernaculaires, la seconde suivant les noms scientifiques. Comme souvent chez les poissons, les noms vernaculaires ne sont pas toujours très précis. Une même espèce peut recevoir plusieurs noms et le même nom peut désigner des espèces différentes d'où l'aspect contradictoire de ces listes.

Liste des noms vernaculaires de requin
Liste des espèces de requin


Description
requin se caractérise par sa silhouette fuselée, particulièrement hydrodynamique, et ses nageoires pectorales et dorsales, ainsi que sa nageoire caudale hétérocerque (de forme asymétrique). Il est pourvu d'un squelette entièrement cartilagineux et de cinq à sept fentes branchiales latérales selon les espèces.

La taille du requin varie selon les espèces, de 15 à 20 cm pour les plus petits, comme le requin nain (Squaliolus laticaudus) et le requin pygmée (Euprotomicrus bispinatus), à plus de 18 mètres pour le plus grand, le requin baleine (Rhincodon typus).

Sa peau est rugueuse, recouverte d'innombrables denticules cutanées, des écailles osseuses placoïdes d'origine dermique et épidermique, qui le protègent contre les parasites et améliorent sa pénétration dans l'eau.

Les mâchoires du requin présentent des particularités uniques dans le monde animal. Elles sont entièrement mobiles, indépendantes, et garnies de plusieurs centaines de dents réparties sur plusieurs rangées dont seule la dernière est fonctionnelle, les autres étant des dents de remplacement. Les dents, dont la forme varie selon les espèces, sont renouvelées en permanence tout au long de la vie du requin, et sont spontanément remplacées par une dent de la rangée suivante lorsqu'elles tombent ou sont abîmées. Fixées sur un tissu fibreux très solide, elles se redressent vers l'extérieur lorsque le requin ouvre la gueule, ce qui lui permet de mordre plus facilement une proie et de la maintenir fermement grâce à la concavité des dents.

Son foie, qui peut représenter jusqu'à 25 % de son poids, est constitué à 90 % de squalène, et lui sert principalement à compenser son absence de vessie natatoire pour se stabiliser, mais également de réserve énergétique.

Distribution

Les requins sont présents dans toutes les mers et tous les océans du globe, à l'exception de l'Antarctique. Quelques espèces, comme le requin bouledogue (carcharhinus leucas), sont capables de vivre en eau douce ou peu salée (fleuves, rivières, estuaires, lacs). Il leur arrive de remonter certains fleuves jusqu'à plus de 3 000 km à l'intérieur des terres, comme par exemple dans le Zambèze et le lac Victoria, en Afrique. Des membres d'une espèce (Pristiophoridés) vont même se reproduire dans le Lac Titicaca, en Amérique du Sud.

Certaines espèces sont pélagiques, d'autres côtières ; on trouve des requins depuis la surface jusqu'à 2 500 mètres de profondeur[6] environ

Locomotion
Les requins utilisent leur nageoire caudale pour se propulser et changer brutalement de direction, les nageoires pectorales font office de gouvernail selon le même principe que les ailerons d'avion, la ou les nageoires dorsales servent de stabilisateurs. Pour pouvoir respirer, ils sont obligés de nager en permanence, même à faible vitesse, afin de maintenir un courant d'eau apportant suffisamment d'oxygène à leurs branchies. Il arrive cependant que certains requins, plus particulièrement ceux vivant à proximité de récifs, se reposent sur le fond en se mettant face au courant, ce qui est suffisant pour qu'ils capturent l'oxygène nécessaire à leur métabolisme[7].

Certaines espèces, comme le requin mako (Isurus oxyrinchus), sont capables d'atteindre des vitesses de pointe d'au moins 50 km/h[8]. Les denticules présents sur la peau des requins provoquent des micro-perturbations qui facilitent l'écoulement hydrodynamique et le rendement de la nage en créant une couche limite d'eau permanente contre la peau, ce qui fait qu'ils glissent dans l'eau facilement.

Contrairement à la plupart des autres poissons, ils n'ont pas de vessie natatoire pour se stabiliser en profondeur mais utilisent le squalène, huile présente dans leur foie, de densité moindre que l'eau pour corriger leur flottabilité négative.

Les requins pélagiques sont capables de parcourir des distances considérables, et pour certaines espèces comme le requin bleu (prionace glauca) d'avoir parfois un circuit migratoire[9], mais peu de données sont disponibles. Toutefois, un traçage par satellite a montré qu'un grand requin blanc, surnommé « Nicole », a effectué une migration d'Afrique du sud vers l'Australie[10]. La distance d'environ 11 000 km. a été couverte en 99 jours soit une vitesse moyenne de 4,6 km/h.

Reproduction
La plupart des requins se reproduisent dans l'océan ; cependant certains requins de l'ordre des pristiophoriformes choisissent les lacs (Amérique centrale). Contrairement aux autres poissons, les requins ont un mécanisme de reproduction peu efficace ; et rarement observé. La maturité sexuelle est atteinte tardivement (plusieurs années), le nombre d'individus par portée est très faible (d'un individu à quelques centaines selon les espèces) et la durée de la gestation est particulièrement longue (de 7 mois à 2 ans).

Le mâle dispose de deux ptérygopodes mais un seul est utilisé lors de l'accouplement. Le sperme est déposé dans le cloaque de la femelle.

Le développement des embryons n'est pas identique selon l'espèce considérée ; il peut être :

Phylogénie
Les fossiles de requins bien conservés sont très rares compte tenu de la nature cartilagineuse du squelette, le plus souvent seules les dents résistent à l'altération du temps. La phylogenèse du requin est donc particulièrement délicate. Les squelettes les plus anciens furent découverts à la fin du XIXe siècle dans l'état de l'Ohio aux États-Unis sont du genre Cladoselache datant du Dévonien supérieur (360 Ma)[18]. D'une taille d'environ 2 mètres ce requin est loin d'être en position de superprédateur mais plutôt de proie en particulier des Placodermes comme le Dunkleosteus. La disparition des Placodermes vers 354 Ma va favoriser le développement des chondrichtyens, en particulier en matière de diversité[19]. À la fin du Permien une extinction de masse se produit faisant disparaître 90 % des espèces marines dont des chondrichtyens. Une deuxième extinction à la fin du Trias opère à nouveau une sélection et élimine, par exemple, les xénacanthes qui avaient vécu pendant 200 Ma. Au Mésozoïque les hybodontes se distinguent par leur grande taille (au moins 3 mètres) et une mâchoire capable de broyer n'importe quelle carapace[20]. Au Jurassique les néosélaciens sont en compétition avec les hybodontes mais l'extinction du Crétacé il y a 65 Ma provoqua la fin des hybodontes ainsi que celle de beaucoup d'autres espèces à commencer par les dinosaures.

Ces néosélaciens comme, peut être, le mcmurdodus ont la plupart des caractéristiques du requin moderne. Carcharocles megalodon[21] a probablement été le superprédateur des océans tropicaux à partir du Miocène, d'une taille supposée de 13 mètres on trouve en abondance ses dents fossilisées, ce requin s'est éteint vraisemblablement il y a 1,6 Ma



ก้อรู้ถึงประวัติฉลาม

กันไปมั่งล่ะนะ

ก้ออบากฝากถึงเพื่อนๆๆ

5/7ทุกๆๆคน

อย่าเครียดนะ

ค่อยๆคิด ค่อยๆทำน่า

เด๋วอะไรๆมันก้อจะดีเองแหละ

และก้อไปเรียนกันให้พร้อมเพรียงนะ

วันที่17-18นี้

อย่าสายล่ะ ทุกๆคน

ด้วยรักและหวังดี

จาก DiizZ In l2etl2oSpEcT

วันเสาร์ที่ 12 มกราคม พ.ศ. 2551

เปรี้ยวมั้ย อิอิ!! มะนาว Citron

The citron is a fragrant fruit with the botanical name Citrus medica L., which applies to both the Swingle and Tanaka systems. It is a prominent member in the genus Citrus, belonging to the Rutaceae, or Rue, family, sub-family Aurantoideae. The designation Medica is most probably derived from the similar ancient names Media, Median Apple etc. which were influenced by the Theophrastus, who considered it being native to Media, Persia or Assyria.

The citron is unlike the more common citrus fruit like the lemon or orange. While the most popular citrus species are peeled in order to consume its pulpy and juicy segments – the citron's pulp is very dry with little value as compared to them. Moreover, its main content is the thick white rind which is very adherent to the segments, and cannot be separated from them easily. Thus, from ancient through medieval times the citron was used mainly for the fragrance of its outer peel or for medicine derived from it that was used to combat against seasickness, pulmonary troubles, intestinal ailments, and other disorders. Citron juice with wine was considered an effective antidote to poison. The essential oil of the peel was regarded as an antibiotic.

The most important part of the citron is the peel which is a fairly important article in international trade. The fruits are halved, depulped, immersed in seawater or ordinary salt water to ferment for about 40 days, the brine being changed every 2 weeks; rinsed, put in denser brine in wooden barrels for storage and for export. After partial de-salting and boiling to soften the peel, it is candied in a strong sugar solution. The candied peel is sun-dried or put up in jars for future use. Candying is done mainly in England, France and the United States. The candied peel is widely employed in the food industry, especially as an ingredient in fruit cake, plum pudding, buns, sweet rolls and candy. [1]

Today there is an uprising market for the citron is the United States for the soluble fiber which is found in its thick rind, also called albedo. The citron is also used by Jews for a religious ritual during the Feast of Tabernacles, by whom it is called Etrog.

The citron has many similar names in diverse languages, e.g. cederat, cedro, etc. Most confusing is the French and Swedish language, in which the false friend "citron" refers to a lemon in English


Origin and distribution
Today, authorities agree that all citrus species are native to Southeast Asia where they are found wild and at an uncultivated form; the fascinating story about how they spread to the Mediterranean has been reported by many (Calabrese, 1998; Chapot, 1975; Tolkowsky, 1938). [2]

The citron especially sounds to be native to India bordering Burma, where it is found in valleys at the foot of the Himalaya Mountains, and in the Western Ghauts.[3] [4] It is still considered that by the time of Theophrastus, the citron was mostly cultivated in the Persian Gulf on its way to the Mediterranean basin, where it was cultivated during the later centuries in different areas as described by Erich Isaac. [5]. Many mention the role of Alexander the Great and his armies, to be responsible for the spread of the citron westward, reaching the European countries like Greece and Italy.

The citron is already mentioned in the Torah for the ritual use during the Feast of Tabernacles (Lev. 23:40). It is considered that the Jews brought it along by The Exodus from Egypt, where archeological evidence found it to be in since the times of Thutmosis III[6].

The opinion that the citron was the forbidden fruit in the Hesperides of Eden is not providing any geographical positioning, since the exact orientation of the Hesperidies is unclear. Besides, there are enough reasons to conclude that it was in the Far East for e.g. India or Yemen, where the citron is likely to have been originated.

Description and Variation

The citron fruit is usually ovate or oblong, narrowing up till the stylar end. However, the citron's fruit shape is highly variable, due to the big quantity of albedo which formsaccording to the fruits' position on the tree, twig orientation and many other factors, thus independently from the form of the segment. This could also be the reason of its being protuberant, forming a "v" shape after the end of the segments pointing to the stylar end.

The rind is leathery, furrowed, and adherent. The inner portion thick, white and fleshy, the outer uniformly thin, and very fragrant. The pulp is usually acidic, but also sweet and even pulpless varieties are found.

Most citron varieties contain a large number of seeds. The monoembryonic seeds are white colored with dark innercoat and red-purplish chalazal spot for the acidic varieties, and colorless or white for the sweet ones. Some citron varieties are also distinct with their persistent style, which is highly appreciated by the Jewish community.

Citrons are also prized for their beauty. The nicer ones are those with medium sized oil bubbles at the outer surface, which are medially distant each to another. Some of them are ribbed and faintly warted in outer surface, adding life and attraction to its beauty.

There is also a very interesting form of citron, where the carpels are also devided from outside into fingeres. The variety is today called Buddha's Hand.

The color changes from green when unripe, till yellow-orange when ripe or overripe. The citron does not fall off the tree and could reach 8-10 pounds (4-5 kg) if not picked off timely or even early [7]. However they should be picked off before the winter as the branches might break, or bend to the ground which may cause numerous fungal diseases for the tree.

The slow-growing shrub or small tree reaches a height of about 8 to 15 ft (2.4-4.5 m); it has irregular straggling branches and stiff twigs and long spines in the leaf axils. The evergreen leafs are pale-green and lemon scented with slightly serrate edges, ovate-lanceolate or ovate elliptic 2 1/2 to 7 inch long. The ending edge of the leaves are never sharp pointed. Petioles are usually wingless or with minor wings. The flowers are generally unisexual providing self-pollination, but some male individuals could be found due to pistil abortion. Flowers of the acidic varieties are purplish tinted from outside, but the sweet ones are white-yellowish, all of them are white from the inner side.

The citron tree is very vigorous with almost no dormancy, blooming several times a year, therefore fragile and extremely sensitive.[8] The farmer's choice is to graft it onto foreign rootstock, but since this practice is forbidden by Jewish Law, the progeny will not be kosher for the Jewish ritual.

The Citron in antiquity

The citron has been cultivated since ancient times, predating the cultivation of other citrus species. Despite its minor importance today being hardly consumed as is, it seems that in different times it played a big role in life. We could see that from the way how it was described by numerous writings and poets across centuries. As assumed by observation, it is very likely that, when the other citrus species arrived they pushed the citron off the road, since most of its benefits could nearly be found in the lemon which is much easier to cultivate.

The following is from the writings of Theophrastus[9]

"In the east and south there are special plants... i.e. in Media and Persia there are many types of fruit, between them there is a fruit called Median or Persian Apple. The tree has a leaf similar to and almost identical with that of the andrachn (Arbutus andrachne L.), but has thorns like those of the apios (the wild pear, Pyrus amygdaliformis Vill.) or the oxyacanthos (the fire thorn, Cotoneaster pyracantha Spach.), except that they are white, smooth, sharp and strong.

"The fruit is not eaten, but is very fragrant, as is also the leaf of the tree; and the fruit is put among clothes, it keeps them from being moth-eaten. It is also useful when one has drunk deadly poison, for when it is administered in wine; it upsets the stomach and brings up the poison. It is also useful to improve the breath, for if one boils the inner part of the fruit in a dish or squeezes it into the mouth in some other medium, it makes the breath more pleasant.

"The seed is removed from the fruit and sown in the spring in carefully tilled beds, and it is watered every fourth or fifth day. As soon the plant is strong it is transplanted, also in the spring, to a soft, well watered site, where the soil is not very fine, for it prefers such places.

"And it bears its fruit at all seasons, for when some have gathered, the flower of the others is on the tree and is ripening others. Of the flowers I have said[10] those which have a sort of distaff [meaning the pistil] projecting from the middle are fertile, while those which do not have this are sterile. It is also sown, like date palms, in pots punctured with holes.

"This tree, as has been remarked, grows in Media and Persia."

Later with about 400 years it was also described by Pliny the Elder,[11] who was calling it nata Assyria malus.

"The Assyrian fruit, which some call Median, is an antidote for poisons. Its leaf is like that of the andrachn (Arbutus andrachne L.), but with thorns running between. The fruit is notable for the fact that it is not eaten and has a strong odor, as also do the leaves, which impregnates clothes stored with them and keeps away harmful insects.

"The tree itself bears fruit continuously; some dropping off, others ripening, and still others budding.

"People have tried to introduce the tree into their land in clay vessels because of its medicinal efficacy, providing breathing for the roots by making holes in the vessels; …but except among Media and in Persia, it has refused to grow.

"This is the fruit whose pips we have related Parthian nobles boiled in foods in order to eliminate bad breath. No other tree is so highly praised in Media."

The citron was always considered as a Jewish symbol, and is found on various Hebrew antiques and archeological foundlings.


เปรี้ยวกันไปกับประวัติและความรู้ต่างๆเนอะ

ต้อนรับกับวันครูที่จะมาถึง

ตั้งใจเรียนเพื่อเตรียมตัวสอบ

และตั้งใจรับ ความโชคดีที่ตกฝรั่งเศส 555+

สู้ๆๆน่า ยิ้มเข้าไว้