วันอังคารที่ 15 มกราคม พ.ศ. 2551
ในทะเลมีรัย?? น่ากัวน่ากัว อิอิ ฉลามน่ะสิรู้อ่ะป่าวล้า
requin พี่ฉลามตัวหย่าย!!!
Les requins sont des poissons cartilagineux ne formant pas un groupe monophylétique (des espèces parentes mais qui ne descendent pas toutes d'un ancêtre unique). C'est avant tout à partir des caractéristiques morphologiques que le nom de requin est attribué. Il en existe 465 espèces[1], organisées en 35 familles, présentes dans tous les océans du globe. Ils sont cependant tous regroupés au sein de la classe des chondrichthyens qui comporte, en outre, les raies, les poissons scies, les poissons guitares et les chimères. Le super-ordre Selachimorpha a été créé afin de désigner exclusivement les requins. Les selachimorpha sont apparus au Dévonien, il y a environ 430 Ma[2]. À partir du Crétacé, il y a 100 Ma, beaucoup d'espèces de requin ont adopté leur forme moderne ; ils n'ont guère évolué depuis ce qui semble être le signe d'une adaptation parfaite à leur milieu.
La plupart des requins sont des prédateurs, voire des superprédateurs pour certains, mais les plus grandes espèces, comme le requin baleine (Rhincodon typus) ou le requin pèlerin (Cetorhinus maximus), ne se nourrissent, principalement, que de plancton en filtrant l'eau de mer. Seulement, une douzaine sont considérées comme dangereuses pour l'homme. De nombreuses espèces sont menacées de disparition.
Dénomination
L'origine du terme est controversée, peut être est-ce une déformation de quin (chien), au sens de chien de mer[3] ou de requiem[4]. Le terme « squale », de sens identique, qui dérive du latin Squalus[5] fait référence à la peau rugueuse de ces animaux du fait des denticules présents sur leur corps. Il existe également un genre nommé Squalus dont l'un des noms vernaculaires est aiguillat. Plusieurs espèces de requin comportent le terme requin dans un de leurs noms vernaculaires, comme par exemple : requin marteau, requin tigre, requin pèlerin, mais ce n'est pas une généralité, il existe aussi des noms vernaculaires ne comprenant pas le terme requin comme dans le cas de maraîche, roussette, mako etc.
Voici deux listes de requins. La première est classée suivant les noms vernaculaires, la seconde suivant les noms scientifiques. Comme souvent chez les poissons, les noms vernaculaires ne sont pas toujours très précis. Une même espèce peut recevoir plusieurs noms et le même nom peut désigner des espèces différentes d'où l'aspect contradictoire de ces listes.
Liste des noms vernaculaires de requin
Liste des espèces de requin
Description
requin se caractérise par sa silhouette fuselée, particulièrement hydrodynamique, et ses nageoires pectorales et dorsales, ainsi que sa nageoire caudale hétérocerque (de forme asymétrique). Il est pourvu d'un squelette entièrement cartilagineux et de cinq à sept fentes branchiales latérales selon les espèces.
La taille du requin varie selon les espèces, de 15 à 20 cm pour les plus petits, comme le requin nain (Squaliolus laticaudus) et le requin pygmée (Euprotomicrus bispinatus), à plus de 18 mètres pour le plus grand, le requin baleine (Rhincodon typus).
Sa peau est rugueuse, recouverte d'innombrables denticules cutanées, des écailles osseuses placoïdes d'origine dermique et épidermique, qui le protègent contre les parasites et améliorent sa pénétration dans l'eau.
Les mâchoires du requin présentent des particularités uniques dans le monde animal. Elles sont entièrement mobiles, indépendantes, et garnies de plusieurs centaines de dents réparties sur plusieurs rangées dont seule la dernière est fonctionnelle, les autres étant des dents de remplacement. Les dents, dont la forme varie selon les espèces, sont renouvelées en permanence tout au long de la vie du requin, et sont spontanément remplacées par une dent de la rangée suivante lorsqu'elles tombent ou sont abîmées. Fixées sur un tissu fibreux très solide, elles se redressent vers l'extérieur lorsque le requin ouvre la gueule, ce qui lui permet de mordre plus facilement une proie et de la maintenir fermement grâce à la concavité des dents.
Son foie, qui peut représenter jusqu'à 25 % de son poids, est constitué à 90 % de squalène, et lui sert principalement à compenser son absence de vessie natatoire pour se stabiliser, mais également de réserve énergétique.
Distribution
Les requins sont présents dans toutes les mers et tous les océans du globe, à l'exception de l'Antarctique. Quelques espèces, comme le requin bouledogue (carcharhinus leucas), sont capables de vivre en eau douce ou peu salée (fleuves, rivières, estuaires, lacs). Il leur arrive de remonter certains fleuves jusqu'à plus de 3 000 km à l'intérieur des terres, comme par exemple dans le Zambèze et le lac Victoria, en Afrique. Des membres d'une espèce (Pristiophoridés) vont même se reproduire dans le Lac Titicaca, en Amérique du Sud.
Certaines espèces sont pélagiques, d'autres côtières ; on trouve des requins depuis la surface jusqu'à 2 500 mètres de profondeur[6] environ
Locomotion
Les requins utilisent leur nageoire caudale pour se propulser et changer brutalement de direction, les nageoires pectorales font office de gouvernail selon le même principe que les ailerons d'avion, la ou les nageoires dorsales servent de stabilisateurs. Pour pouvoir respirer, ils sont obligés de nager en permanence, même à faible vitesse, afin de maintenir un courant d'eau apportant suffisamment d'oxygène à leurs branchies. Il arrive cependant que certains requins, plus particulièrement ceux vivant à proximité de récifs, se reposent sur le fond en se mettant face au courant, ce qui est suffisant pour qu'ils capturent l'oxygène nécessaire à leur métabolisme[7].
Certaines espèces, comme le requin mako (Isurus oxyrinchus), sont capables d'atteindre des vitesses de pointe d'au moins 50 km/h[8]. Les denticules présents sur la peau des requins provoquent des micro-perturbations qui facilitent l'écoulement hydrodynamique et le rendement de la nage en créant une couche limite d'eau permanente contre la peau, ce qui fait qu'ils glissent dans l'eau facilement.
Contrairement à la plupart des autres poissons, ils n'ont pas de vessie natatoire pour se stabiliser en profondeur mais utilisent le squalène, huile présente dans leur foie, de densité moindre que l'eau pour corriger leur flottabilité négative.
Les requins pélagiques sont capables de parcourir des distances considérables, et pour certaines espèces comme le requin bleu (prionace glauca) d'avoir parfois un circuit migratoire[9], mais peu de données sont disponibles. Toutefois, un traçage par satellite a montré qu'un grand requin blanc, surnommé « Nicole », a effectué une migration d'Afrique du sud vers l'Australie[10]. La distance d'environ 11 000 km. a été couverte en 99 jours soit une vitesse moyenne de 4,6 km/h.
Reproduction
La plupart des requins se reproduisent dans l'océan ; cependant certains requins de l'ordre des pristiophoriformes choisissent les lacs (Amérique centrale). Contrairement aux autres poissons, les requins ont un mécanisme de reproduction peu efficace ; et rarement observé. La maturité sexuelle est atteinte tardivement (plusieurs années), le nombre d'individus par portée est très faible (d'un individu à quelques centaines selon les espèces) et la durée de la gestation est particulièrement longue (de 7 mois à 2 ans).
Le mâle dispose de deux ptérygopodes mais un seul est utilisé lors de l'accouplement. Le sperme est déposé dans le cloaque de la femelle.
Le développement des embryons n'est pas identique selon l'espèce considérée ; il peut être :
Phylogénie
Les fossiles de requins bien conservés sont très rares compte tenu de la nature cartilagineuse du squelette, le plus souvent seules les dents résistent à l'altération du temps. La phylogenèse du requin est donc particulièrement délicate. Les squelettes les plus anciens furent découverts à la fin du XIXe siècle dans l'état de l'Ohio aux États-Unis sont du genre Cladoselache datant du Dévonien supérieur (360 Ma)[18]. D'une taille d'environ 2 mètres ce requin est loin d'être en position de superprédateur mais plutôt de proie en particulier des Placodermes comme le Dunkleosteus. La disparition des Placodermes vers 354 Ma va favoriser le développement des chondrichtyens, en particulier en matière de diversité[19]. À la fin du Permien une extinction de masse se produit faisant disparaître 90 % des espèces marines dont des chondrichtyens. Une deuxième extinction à la fin du Trias opère à nouveau une sélection et élimine, par exemple, les xénacanthes qui avaient vécu pendant 200 Ma. Au Mésozoïque les hybodontes se distinguent par leur grande taille (au moins 3 mètres) et une mâchoire capable de broyer n'importe quelle carapace[20]. Au Jurassique les néosélaciens sont en compétition avec les hybodontes mais l'extinction du Crétacé il y a 65 Ma provoqua la fin des hybodontes ainsi que celle de beaucoup d'autres espèces à commencer par les dinosaures.
Ces néosélaciens comme, peut être, le mcmurdodus ont la plupart des caractéristiques du requin moderne. Carcharocles megalodon[21] a probablement été le superprédateur des océans tropicaux à partir du Miocène, d'une taille supposée de 13 mètres on trouve en abondance ses dents fossilisées, ce requin s'est éteint vraisemblablement il y a 1,6 Ma
ก้อรู้ถึงประวัติฉลาม
กันไปมั่งล่ะนะ
ก้ออบากฝากถึงเพื่อนๆๆ
5/7ทุกๆๆคน
อย่าเครียดนะ
ค่อยๆคิด ค่อยๆทำน่า
เด๋วอะไรๆมันก้อจะดีเองแหละ
และก้อไปเรียนกันให้พร้อมเพรียงนะ
วันที่17-18นี้
อย่าสายล่ะ ทุกๆคน
ด้วยรักและหวังดี
จาก DiizZ In l2etl2oSpEcT
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